Lapolitique de gestion des sites et sols polluĂ©s mise en place ces trente derniĂšres annĂ©es a rĂ©cemment Ă©tĂ© bouleversĂ©e par des mesures notamment introduites par la loi "ASAP" en 2020, et Depuis2017, eOde est Ă©galement sollicitĂ©e dans les deux pays pour dĂ©velopper des mĂ©thodologies et Ă©tablir des cartographies ayant trait Ă  la qualitĂ© chimique des sols urbains. En Suisse, eOde appuie les maĂźtres d’ouvrage dans la gestion globale d’un parc de sites polluĂ©s, le suivi et l’expertise de sites polluĂ©s, ainsi que dans Ilexiste quatre milieux Ă  considĂ©rer dans l’étude des sites polluĂ©s : le sol (zone non saturĂ©e), les nappes (eaux souterraines), l’air prĂ©sent dans les sols de la zone non saturĂ©e ou l’air ambiant, les eaux superficielles. Dans certains cas, les infrastructures pourront s’ajouter Ă  ces quatre milieux fondamentaux (structures capables Parailleurs, les articles L. 556-1 et L. 556-2 du code de l’environnement prĂ©voient un dispositif similaire visant Ă  faire attester, par un bureau d’étude certifiĂ© ou Ă©quivalent, de la prise en compte de mesures de gestion de la pollution des sols dans le cas d’un changement d’usage sur le terrain d’une ICPE rĂ©guliĂšrement rĂ©habilitĂ©e ou sur une LesSecteurs d’Information sur les Sols. Ce guide a pour objectif, de prĂ©senter les principales mesures constructives pouvant ĂȘtre mises en Ɠuvre dans le domaine des sites et sols polluĂ©s en regard des problĂ©matiques liĂ©es aux remontĂ©es de gaz de sols en provenance de la sub-surface, Ă  la permĂ©ation de composĂ©s volatils au travers d AttestationATTES, pollution des sols. Dans le cadre d’une demande de PC et selon article L.556-1 du CE, lors d’un changement d’usage, ancien site ICPE classĂ© ou en SIS, la demande administrative de dĂ©livrance d’une attestation ATTES produite par un bureau d’études certifiĂ© dans le domaine des sites et sols polluĂ©s, doit clairement prĂ©ciser que les bureaux . ChronoLĂ©gi Chapitre VI Sites et sols polluĂ©s Articles R556-1 Ă  R556-5 »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duMasquer les articles et les sections abrogĂ©sLorsqu'un maĂźtre d'ouvrage est Ă  l'origine d'un changement d'usage dans les conditions dĂ©finies par l'article L. 556-1, il dĂ©finit, le cas Ă©chĂ©ant sur la base d'une Ă©tude de sols comprenant les Ă©lĂ©ments mentionnĂ©s Ă  l'article R. 556-2, les Ă©ventuelles mesures de gestion de la pollution des sols, y compris les eaux souterraines, qui permettent d'assurer la compatibilitĂ© entre l'Ă©tat des sols et la protection des intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s au premier alinĂ©a de l'article L. 556-1, au regard du nouvel usage de sols prĂ©vue au premier alinĂ©a de l'article L. 556-2 est constituĂ©e d'un diagnostic et du plan de gestion en dĂ©coulant. Le diagnostic comprend notamment 1° Les Ă©lĂ©ments relatifs Ă  l'Ă©tude historique, documentaire et mĂ©morielle de la zone investiguĂ©e ; 2° Les Ă©lĂ©ments relatifs Ă  la vulnĂ©rabilitĂ© des milieux ; 3° Des investigations sur les milieux et l'interprĂ©tation de leurs rĂ©sultats ; 4° Les donnĂ©es gĂ©ographiques relatives Ă  la zone investiguĂ©e comprenant notamment un plan dĂ©limitant cette zone, la limite de l'emprise du ou des sites et la liste des parcelles cadastrales associĂ©es. Le cas Ă©chĂ©ant, le plan localise les diffĂ©rentes substances utilisĂ©es sur ce ou ces sites ; 5° Un schĂ©ma, dit conceptuel, permettant d'apprĂ©hender les relations entre les sources de pollution, les voies de transfert et les enjeux Ă  protĂ©ger Ă  partir d'un bilan de l'Ă©tat des milieux. Le plan de gestion dĂ©finit les mesures de gestion permettant d'assurer la compatibilitĂ© entre l'Ă©tat des milieux et l'usage futur du site au regard de l'efficacitĂ© des techniques de rĂ©habilitation dans des conditions Ă©conomiquement acceptables ainsi que du bilan des coĂ»ts et des avantages de la rĂ©habilitation au regard des usages - L'attestation du bureau d'Ă©tudes certifiĂ© dans le domaine des sites et sols polluĂ©s, ou Ă©quivalent, prĂ©vue aux articles L. 556-1 et L. 556-2, garantit - la rĂ©alisation d'une Ă©tude de sols ;- la prise en compte des prĂ©conisations de cette Ă©tude pour assurer la compatibilitĂ© entre l'Ă©tat des sols et l'usage futur du site dans la conception du projet de construction ou de - Le bureau d'Ă©tudes fournissant l'attestation prĂ©vue aux articles L. 556-1 et L. 556-2 peut ĂȘtre le mĂȘme que celui qui a rĂ©alisĂ© l'Ă©tude de - Le ministre chargĂ© de l'environnement fixe par arrĂȘtĂ© le modĂšle de l'attestation prĂ©vue aux articles L. 556-1 et L. la pollution ou le risque de pollution mentionnĂ© Ă  l'article L. 556-3 est causĂ© par une installation soumise aux dispositions du titre Ier du livre V, une installation soumise aux dispositions du titre IX de ce mĂȘme livre ou une activitĂ© soumise aux rĂ©gimes mentionnĂ©s Ă  l'article R. 1333-104 du code de la santĂ© publique, l'autoritĂ© de police compĂ©tente pour mettre en Ɠuvre les mesures prĂ©vues Ă  cet article est l'autoritĂ© administrative chargĂ©e du contrĂŽle de cette installation ou de cette activitĂ©. Dans les autres cas, l'autoritĂ© de police est le maire, sauf dans le cas prĂ©vu au dixiĂšme alinĂ©a de l'article L. 542-12, dans lequel le pouvoir de police appartient au prĂ©fet..Un arrĂȘtĂ© du ministre chargĂ© de l'environnement dĂ©finit la typologie des mesures de gestion de la pollution Ă  mettre en place pour assurer la compatibilitĂ© entre l'Ă©tat des sols et l'usage futur du site prĂ©vues par les articles L. 556-1 et L. arrĂȘtĂ© est complĂ©tĂ© le cas Ă©chĂ©ant par un arrĂȘtĂ© des ministres chargĂ©s de la radioprotection, de l'environnement et de l'Ă©nergie, pour les prescriptions spĂ©cifiques liĂ©es Ă  la gestion de la pollution par des substances radioactives. Vous avez un projet de construction mais souhaitez auparavant mesurer l'impact environnemental ? Le CERAG, Centre EuropĂ©en de Recherches et d'Applications GĂ©ologiques, rĂ©alise votre Ă©tude environnementale de la faune et la flore sur Paris. Dans le cadre de l'Ă©tablissement de dossiers rĂ©glementaires, notre Ă©quipe rĂ©alise un inventaire de la faune, la flore et des habitats prĂ©sents en collaboration avec des bureaux d'Ă©tudes d'Ă©cologues locaux et spĂ©cialisĂ©s. Egalement Assistant Ă  MaĂźtrise d'Ouvrage, nous veillons au respect des prescriptions environnementales durant le chantier et l'amĂ©nagement du site. Envie de vous lancer dans une dĂ©marche de labellisation EcoQuartier ? CERAG vous accompagne durant les 3 Ă©tapes de validation conception, mise en chantier et livraison. Le but est de concevoir un quartier qui respecte les principes du dĂ©veloppement durable. Contactez-nous pour vos Ă©tudes environnementales ! Nous saurons vous proposer une intervention adaptĂ©e aux enjeux de votre terrain et Ă  la nature de votre projet. Bureau d’études en environnementConseil en Ă©cologie urbaine, Ă©cologie fonctionnelle, sites et sols polluĂ©s et sciences naturellesA propos de l’Atelier d’écologie urbaine L’Atelier d’Ecologie Urbaine est bureau d’études en environnement qui dĂ©veloppe une activitĂ© d’ingĂ©nieur conseil en Ă©cologie urbaine, Ă©cologie fonctionnelle, sites et sols polluĂ©s et sciences naturelles. L’Atelier d’Ecologie Urbaine s’appuie sur une Ă©quipe de gĂ©ologues naturalistes qualifiĂ©s Bac+5 Ă  +8, rĂ©partie entre le siĂšge Ă  Paris, l’agence Est et l’agence Centre-Ouest. Cette Ă©quipe mĂšne aussi bien des Ă©tudes, diagnostics et mesures, que de la maitrise d’Ɠuvre MOE ou de l’assistance Ă  maitrise d’ouvrage AMO. En plus d’une activitĂ© traditionnelle de bureau d’études en environnement, l’Atelier est engagĂ© dans des projets de recherche et dĂ©veloppement ainsi que des recherches scientifiques, ceci pour ĂȘtre toujours plus performant et Ă  la pointe des Ă©volutions techniques et scientifiques de nos mĂ©tiers. Nos domaines d’activitĂ©s ÉcosystĂšmes fonctionnels 15% Sol, eau, milieu naturel 20% Sites et sols polluĂ©s 30% Notre Ă©quipe Jean-Louis a dĂ©butĂ© sa carriĂšre scientifique et technique dans la gĂ©ologie miniĂšre et nuclĂ©aire. Il s’est orientĂ© ensuite pendant prĂšs de 10 ans en gĂ©ologie gĂ©otechnique. PassionnĂ© depuis toujours de botanique autant que de gĂ©osciences, il créé en 1998 l’Atelier d’Écologie Urbaine pour se consacrer aux sciences naturelles appliquĂ©es Ă  l’environnement et Ă  la gestion des pollutions. Jean-Louis dĂ©veloppe en parallĂšle de la gestion des sites et sols polluĂ©s et de la reconquĂȘte Ă©cologique de sites dĂ©gradĂ©s, les concepts d’écologie urbaine et d’écologie fonctionnelle. Il participe et conduit divers travaux de recherche et dĂ©veloppement ou de recherche scientifique. Jean louis est un moteur important de l’innovation au sein de l’Atelier d’Écologie Urbaine. Jean-Louis Ducreux / Docteur en GĂ©ologie AppliquĂ©e et SĂ©dimentaire UniversitĂ© de Lyon, 1982, Directeur Atelier d’Ecologie Urbaine Magali intĂšgre l’Atelier en 2002. AprĂšs plusieurs annĂ©es en tant que chef de projet en sites et sols polluĂ©s sur des Ă©tudes et maĂźtrises d’Ɠuvre complexes de dĂ©pollution d’anciens sites industriels en Ile de France, elle dĂ©veloppe ensuite ses compĂ©tences autour de l’écologie urbaine. Magali créé l’agence Centre-Ouest en 2008 et participe depuis Ă  de trĂšs nombreux projets d’écoquartiers tant en Ile de France que dans d’autres rĂ©gions. Elle maĂźtrise parfaitement les aspects techniques et rĂ©glementaires liĂ©s aux problĂ©matiques environnementales Ă©tude d’impact, loi sur l’eau et apporte une plus-value importante lors des missions d’assistance Ă  maĂźtrise d’ouvrage. Magali Sauneuf / DiplĂŽmĂ©e de l’UniversitĂ© de Dijon DEA GĂ©osystĂšme, Evolution, Environnement, Responsable de l’Antenne Ouest Nelly Duranton intĂšgre l’Atelier en 2006. Elle s’est spĂ©cialisĂ©e au fil du temps en sites et sols polluĂ©s d’une part, et dans le montage et la rĂ©daction d’études rĂ©glementaires Dossiers loi sur l’eau, Ă©tude d’impact
 d’autre part. Elle a une grande expĂ©rience de terrain. Sa rigueur est un atout dans ses missions quotidiennes, qu’elle mĂšne autant en mĂ©tropole que dans les DOM-TOM. Nelly est Ă©galement responsable des certifications et qualifications de l’Atelier d’Ecologie Urbaine. Nelly Duranton / GĂ©ologue environnementaliste, Maitrise Sciences de la terre UniversitĂ© Nancy 1 et DES Sciences de l'environnement UniversitĂ© LiĂšge Arlon, Belgique, Chef de Projet Vincent est un ingĂ©nieur en gĂ©osciences rigoureux et passionnĂ©, pour qui les investigations de terrain n’ont pas de secret. Il est le rĂ©fĂ©rent de l’Atelier pour les problĂ©matiques de sites et sols polluĂ©s, et dispose d’une grande expĂ©rience dans les missions de diagnostic, d’assistance et de suivi sur des opĂ©rations de gestion des pollutions. Vincent a dĂ©veloppĂ© parallĂšlement des compĂ©tences en Ă©cologie urbaine depuis plusieurs annĂ©es maintenant, l’amenant Ă  intervenir trĂšs rĂ©guliĂšrement sur des problĂ©matiques environnementales plus gĂ©nĂ©rales dans le cadre de projets d’amĂ©nagement urbains. Vincent Plichon / DiplĂŽmĂ© de l’Ecole SupĂ©rieure d’IngĂ©nieur de Poitiers et de l’UniversitĂ© Paris Sud 11, Chef de Projet AprĂšs des Ă©tudes orientĂ©es vers la biodiversitĂ© et les Ă©cosystĂšmes, Etienne intĂšgre l’AEU de Paris en 2018. MotivĂ©, Etienne dĂ©veloppe ses connaissances dans les domaines des sites et sols polluĂ©s ainsi que des dossiers rĂ©glementaires. ETIENNE GOURDON / Master 2 en EcosystĂšmes et Anthropisation Ecole Nationale SupĂ©rieure d’Agronomie de Toulouse, 2018, Master 1 BiodiversitĂ© Ecologie Evolution 2017, ChargĂ© d’études Notre implantationAgence Paris - Ile de FranceSiĂšge Social 89, rue du Faubourg Saint Antoine 75011 Paris +33 9 54 46 34 34 Il est important de savoir quand un diagnostic est obligatoire et quand il ne l’est pas. Un diagnostic de pollution des sols et/ou des eaux souterraines est obligatoire dans les cas suivants Les sites classĂ©s ICPE Cela concerne les installations classĂ©es pour la protection de l’environnement ICPE qui ont cessĂ© leur activitĂ©, quel que soit leur donnĂ© qu’elles sont potentiellement polluantes, ces installations doivent ĂȘtre rĂ©habilitĂ©es par le dernier exploitant. Cela veut dire que celui-ci doit rendre le site dans un Ă©tat tel qu’il ne s’y manifeste aucun des dangers ou inconvĂ©nients que l’on peut lire dans l’article du code de l’environnement. Il faut que l’installation permette un amĂ©nagement et une exploitation compatibles avec l’usage projetĂ©. Les anciennes ICPE TrĂšs proche des sites classĂ©s, il n'est pas rare que l'arrĂȘt de l'activitĂ© d'une ancienne ICPE n'ait pas fait l'objet d'une dĂ©claration auprĂšs de l'administration. Il est donc commun de devoir rĂ©aliser un diagnostic de pollution des sols des annĂ©es voire des dĂ©cennies aprĂšs le moment de leur cession; aprĂšs l’arrĂȘt dĂ©finitif de l’activitĂ©. Les sites enregistrĂ©s dans la Base de donnĂ©es BASIAS La France a Ă©tĂ© l’un des premiers pays europĂ©ens Ă  conduire des inventaires des sites polluĂ©s ou susceptibles de l'ĂȘtre d’une façon systĂ©matique premier inventaire en 1978. L'inscription d'un site dans la banque de donnĂ©es BASIAS ne prĂ©juge pas d'une Ă©ventuelle pollution Ă  son principaux objectifs de cet inventaire sont recenser, de façon large et systĂ©matique, tous les sites industriels abandonnĂ©s ou non, susceptibles d'engendrer une pollution de l'environnement ; conserver la mĂ©moire de ces sites ; fournir des informations utiles aux acteurs de l'urbanisme, du foncier et de la protection de l'environnement. En juillet 2020, la base BASIAS contient environ 322 400 anciens sites industriels et activitĂ©s de service recensĂ©s sur le territoire français. Toutefois, cette base de donnĂ©es n’est pas exhaustive et comporte Ă©galement des erreurs de localisation. Les sites enregistrĂ©s dans la base de donnĂ©es BASOL La nĂ©cessitĂ© de connaĂźtre les sites polluĂ©s ou potentiellement polluĂ©s, de les traiter le cas Ă©chĂ©ant, en lien notamment avec l’usage prĂ©vu, d’informer le public et les acteurs locaux, d’assurer la traçabilitĂ© des pollutions et des risques y compris aprĂšs traitement a conduit le ministĂšre chargĂ© de l’environnement Ă  crĂ©er la base de donnĂ©es BASOL. Les sites situĂ©s en SIS Secteur d’Information sur les Sols Terrains oĂč la connaissance de la pollution des sols justifie, notamment en cas de changement d’usage, la rĂ©alisation d’études de sols et la mise en place de mesures de gestion de la pollution pour prĂ©server la sĂ©curitĂ©, la santĂ© ou la salubritĂ© publique et l’environnement. Ces secteurs sont dĂ©finis par les services de l’Etat Pollution accidentelle en cas d'accident ou incident ayant entraĂźnĂ© une contamination des sols et/ou des eaux, il appartient Ă  l’exploitant de dĂ©clarer le sinistre et de mettre en Ɠuvre les moyens pour y remĂ©dier. Ici, on peut parler de constat pour dĂ©terminer l’ampleur de la contamination, mais aussi de la remĂ©diation au pollution accidentelle peut concerner des sites particuliers et non professionnels avec comme cas frĂ©quent la fuite des cuves de fioul dans une maison de particulier. Cependant, la plupart des opĂ©rations se feront avec des professionnels. Lorsque votre site n’est pas classĂ© ICPE, BASIAS, BASOL et/ou SIS, il n’y a pas d’obligation de diagnostic de pollution des sols. Cependant, rien ne vous empĂȘche d’en commander il est conseillĂ© d’en faire un lorsqu’un risque de contamination du sol et/ou des eaux est suspectĂ©. Un diagnostic sĂ©curise la vente. De plus, l’acheteur potentiel du bien est en droit d’exiger la rĂ©alisation d’un diagnostic de pollution. De la part d’un vendeur de biens, la mĂ©connaissance d’une pollution et/ou la sous-estimation de l’ampleur d’une pollution dĂ©jĂ  connue, ou mĂȘme le fait de ne pas porter Ă  la connaissance de l’acquĂ©reur ladite pollution, peut faire jouer la garantie des vices cachĂ©s. Les SIS, quel impact pour le diagnostic de pollution ? Les Secteurs d’Information sur les Sols SIS ont Ă©tĂ© introduits en 2014/2015 par la loi ALUR pour l’accĂšs au logement et urbanisme rĂ©novĂ©. L’article L. 125-6 du code de l’environnement impose aux prĂ©fets de recenser les sites polluĂ©s de leur dĂ©partement avant le 1er Janvier 2019. Etaient concernĂ©s les “terrains oĂč la connaissance de la pollution des sols justifie, notamment en cas de changement d’usage, la rĂ©alisation d’études de sols et de mesures de gestion de la pollution”. Donc, pour tout projet d’amĂ©nagement avec changement d’usage dans un SIS, il est obligatoire de rĂ©aliser un diagnostic de pollution des sols. Lors de ce diagnostic, vous pourrez dĂ©finir les mesures de gestion des sols contaminĂ©s, et assurer que l’état des sols soit compatible avec l’usage futur du site, sans risque sanitaire. Cependant, les SIS n’ont pas de valeur d’exhaustivitĂ© en matiĂšre de sites contaminĂ©s. Cela veut dire qu’un terrain non-rĂ©pertoriĂ© dans un SIS peut s’avĂ©rer ĂȘtre polluĂ© aprĂšs Ă©tude. Au moindre doute, contactez un spĂ©cialiste ! L’attestation de compatibilitĂ©, outil majeur du diagnostic de pollution Pour les installations classĂ©es ICPE, BASIAS, BASOL, SIS, le dossier d’instruction des permis de construire se doit d’ĂȘtre accompagnĂ© d’une attestation Mission ATTES garantissant que l’étude de sols a bien Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e et que ses rĂ©sultats ont Ă©tĂ© pris en compte. La conception du projet de construction et/ou d’amĂ©nagement prend en compte l’étude pour assurer la compatibilitĂ© entre l’état des sols et l’usage futur du site. Elle arrive trĂšs tĂŽt dans les projets, au moment de la demande du permis de construire. AprĂšs ce moment, aucun contrĂŽle ne peut s’exercer. Qui rĂ©alise un diagnostic de pollution du sol et prestations connexes ? Un diagnostic de pollution, concernant donc par dĂ©finition les sols, peut englober d’autres prestations comme les eaux souterraines, les eaux de surface, le gaz du sol, l'air extĂ©rieur et ambiant Ă  l'intĂ©rieur des bĂątiments, les vĂ©gĂ©taux, etc. RĂ©aliser une Ă©tude comme celle-ci demande des compĂ©tences scientifiques. Seul un bureau d’études disposant d’un personnel qualifiĂ© peut vous fournir une aussi bonne expertise. Point important Un bureau d’études n’est pas obligĂ© d’avoir une certification pour effectuer une Ă©tude diagnostic de contamination de vos sols et autres milieux. Il s’agit simplement d’une garantie qualitĂ© de votre cĂŽtĂ©. La loi exige, cependant, une certification dans le domaine des sites et sols polluĂ©s SSP ou Ă©quivalent lors de la production de l’attestation de compatibilitĂ© Ă©voquĂ©e un peu plus haut. DIAG’SOL fait intervenir un personnel qualifiĂ©, formĂ©, disposant de matĂ©riel et d'une technique adaptĂ©e que ce soit de la gĂ©ologie ou de la chimie, par exemple de niveau ingĂ©nieur et supĂ©rieur. DIAG’SOL est membre de l’OCEP Organisation des Consultants en Environnement et Pollution et de la CNEI Compagnie Nationale des Experts Immobiliers Pour en savoir plus, n’hĂ©sitez pas Ă  feuilleter notre FAQ ! ResponsabilitĂ© et analyse pollution sols Qui est responsable d’une pollution des sols ? Le principe POLLUEUR–PAYEUR instituĂ© Ă  l’article du Code de l’Environnement, rend l’exploitant responsable des atteintes que son activitĂ© peut avoir sur le sol, l’eau, etc. Il est donc tenu de supprimer ou rĂ©duire les pollutions des sols Ă©ventuelles. La remise en Ă©tat d’un site peut ĂȘtre demandĂ©e Ă  tout moment par le PrĂ©fet et la responsabilitĂ© de l’exploitant est illimitĂ©e dans le temps l’administration peut se retourner vers l’exploitant des annĂ©es plus tard Jurisprudence cours administrative de Marseille, 5 mars 2002. NĂ©anmoins, si l’exploitant n’est pas solvable ou identifiĂ©, en cas de pollution des sols l’obligation de remettre en Ă©tat le site pourra peser sur – Le propriĂ©taire du sitearticle du code de l’environnement ; la jurisprudence montre en effet que le propriĂ©taire d’un site polluĂ© peut ĂȘtre contraint Ă  des travaux de remise en Ă©tat, alors mĂȘme qu’il n’a jamais exercĂ© en ce lieu l’activitĂ© industrielle Ă  l’origine des dangers Jurisprudence cours administrative de Lyon, 10 juin 1997 – Le liquidateur judiciaire lorsqu’il reprĂ©sente la sociĂ©tĂ© pendant toute la durĂ©e de la procĂ©dure judiciaire – L’administration, par le biais de l’ADEME, lorsqu’elle prend en charge les travaux de dĂ©pollution sur les sites orphelins. ResponsabilitĂ© et analyse pollution sols Quel est le cadre rĂ©glementaire des sites et sols potentiellement » polluĂ©s ? Il n’existe pas de loi sur les sols polluĂ©s Ă  l’instar des lois sur les dĂ©chets, l’eau, etc. Un flou trĂšs important demeure en la matiĂšre. Tant que les entreprises sont en activitĂ©, elles rĂ©pondent soit de la lĂ©gislation des installations classĂ©es pour la protection de l’environnement pour celles dont l’activitĂ© appartient Ă  la nomenclature ICPE, soit du rĂšglement sanitaire ou des grands titres du Code de l’Environnement air, eau, dĂ©chets pour les entreprises n’entrant pas dans les rubriques prĂ©cĂ©dentes. En revanche, l’arrĂȘt de l’activitĂ© posait encore rĂ©cemment des problĂšmes pour la remise en Ă©tat des sites par manque de prescriptions rĂ©glementaires ou lĂ©gislatives. La loi n°2003-699 du 30 juillet 2003 a permis d’intĂ©grer la problĂ©matique sites et sols polluĂ©s » au Code de l’Environnement et vise ainsi Ă  attĂ©nuer le flou qui rĂšgne en la matiĂšre. Les nouvelles dispositions lĂ©gislatives visent principalement Ă  renforcer le dispositif existant relatif aux aspects suivants – Mieux anticiper pendant la vie de l’entreprise la problĂ©matique des sols polluĂ©s, en particulier au travers de diagnostics rĂ©alisĂ©s pendant l’exploitation et en prĂ©cisant au niveau lĂ©gislatif les obligations des exploitants en matiĂšre de remise en Ă©tat. – Renforcer les mĂ©canismes de vĂ©rification des capacitĂ©s financiĂšres des entreprises pour faire face Ă  leurs obligations de remise en Ă©tat des sites. Le dĂ©pĂŽt de bilan de la sociĂ©tĂ© Metaleurop Nord a rĂ©vĂ©lĂ© le besoin de prĂ©venir l’insuffisance des capacitĂ©s financiĂšres des entreprises ou les dĂ©faillances organisĂ©es d’entreprises, qui leur permettent d’échapper Ă  leurs obligations de remise en Ă©tat des sites polluĂ©s. Trois situations sont Ă  envisager pour la gestion et la remise en Ă©tat des sites polluĂ©s – Exploitation encore en activitĂ©, – Changement d’exploitant, – Cessation d’activitĂ©. Quelle que soit la situation envisagĂ©e, la remise en Ă©tat est sous la responsabilitĂ© de l’exploitant Ă  l’origine de la pollution. Ces trois situations sont dĂ©taillĂ©es ci-dessous 1- Lorsque l’exploitation est encore en activitĂ©, la pollution d’un sol peut ĂȘtre due soit Ă  un accident, soit aux Ă©missions diffuses liĂ©es au fonctionnement normal de l’activitĂ©. Toute pollution de sol survenant suite Ă  un accident ou incident sur le site incendie, explosion, dĂ©versement ou rejets accidentels, fuite ou encore erreur de manipulation doit ĂȘtre dĂ©clarĂ©e dans les plus brefs dĂ©lais par l’exploitant Ă  l’inspection des installations classĂ©es et au prĂ©fet. Ceux-ci peuvent prescrire, par arrĂȘtĂ© – La mise en Ɠuvre de mesures d’urgence, – L’évaluation des causes, – L’analyse des incidences, – La diminution des risques futurs par l’étude de remĂšdes. La prĂ©vention des pollutions liĂ©es aux Ă©missions de l’activitĂ© est prise en compte notamment par l’arrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1998 et en particulier par – Ses articles 10 et 12 relatifs aux capacitĂ©s de rĂ©tention et aux bassins de confinement, – Ses articles 36 et 42 relatifs aux Ă©pandages, – Ses articles 44 et 46 relatifs Ă  la gestion des dĂ©chets, – Et ses articles 65 et 66 relatifs Ă  la surveillance des sols et des eaux souterraines. Les modalitĂ©s de surveillance des sols et eaux souterraines localisation et frĂ©quence des prĂ©lĂšvements ou de contrĂŽle en continu des Ă©missions liĂ©es Ă  l’activitĂ© tests de percolation, piĂ©zomĂ©trie, analyse des effluents liquides, etc. peuvent ĂȘtre prĂ©cisĂ©es par la DRIRE dans l’arrĂȘtĂ© d’autorisation ou par un arrĂȘtĂ© complĂ©mentaire. Le prĂ©fet peut Ă©galement prescrire aux installations soumises Ă  autorisation des Ă©tudes sur les consĂ©quences environnementales de leur activitĂ© ainsi que l’exĂ©cution de travaux de dĂ©pollution, au cours de l’exploitation ou aprĂšs la cessation d’activitĂ©. Jusqu’à prĂ©sent, la loi n’imposait d’obligation de dĂ©pollution des sites que lors de la fermeture dĂ©finitive de l’entreprisearticle 34-1 du dĂ©cret n°77-1133. A l’avenir, dans les industries les plus polluantes, soumises Ă  garanties financiĂšres, l’exploitant a pour obligation d’informer le prĂ©fet de toute modification substantielle des capacitĂ©s techniques ou financiĂšres mentionnĂ©es Ă  l’article du code de l’environnement. Au moment de la demande d’autorisation, l’exploitant doit pouvoir justifier sa capacitĂ© technique et financiĂšre Ă  couvrir la remise en Ă©tat du site lors de sa cessation d’activitĂ©. Si le prĂ©fet constate que l’entreprise n’est plus en mesure de faire face Ă  ses obligations de dĂ©pollution, il pourra demander la rĂ©vision ou la constitution de garanties financiĂšres en vue de la remise en Ă©tat des sites polluĂ©s, qui pourront passer par exemple par la caution de la sociĂ©tĂ© mĂšre, des mĂ©canismes d’épargne – pollution, ou des fonds bloquĂ©s article du code de l’environnement. Le principe de prĂ©caution est renforcĂ©, Ă  travers l’article du code de l’environnement, pour les installations soumises Ă  garanties financiĂšres. A chaque changement notable des conditions d’exploitation,l’exploitant doit mettre Ă  jour un Ă©tat de la pollution des sols du est ici d’anticiper la gestion de problĂšmes Ă©ventuels avant la fin de l’activitĂ© ou encore de se donner les moyens d’assurer la remise en Ă©tat des sites en fin d’activitĂ© grĂące Ă  la mise en place de garanties financiĂšres. Cet Ă©tat doit ĂȘtre transmis au prĂ©fet, au maire, au prĂ©sident de l’établissement public de coopĂ©rations intercommunales EPCI ou Ă  toute autre autoritĂ© compĂ©tente en matiĂšre d’urbanisme. Le Code du Commerce article est modifiĂ© de sorte que le bilan Ă©conomique et social des Installations classĂ©es soumises Ă  autorisation est complĂ©tĂ© d’un bilan environnemental. Ce dernier vise Ă  Ă©valuer la dette environnementale » pour que celle-ci soit prise en compte dans le plan de redressement de l’entreprise. 2- Lorsque l’exploitant change, l’exploitant prĂ©cĂ©dent est contraint de remettre en Ă©tat le site, de telle façon que celui-ci soit compatible avec la nouvelle activitĂ©. Il est Ă©galement obligĂ© d’informer le nouvel exploitant sur la qualitĂ© du sol. Pour cela, le dernier Ă©tat de la pollution des sols du site, Ă  jour, doit ĂȘtre joint Ă  toute promesse unilatĂ©rale de vente ou d’achat et Ă  tout contrat de vente article du code de l’environnement. De plus, si le vendeur du site est l’exploitant de l’installation, il doit informer par Ă©crit l’acheteur si son activitĂ© a entraĂźnĂ© la manipulation ou le stockage de substances chimiques ou radioactives article du code de l’environnement. Le vendeur doit donc rĂ©aliser un bilan du site qui passe frĂ©quemment par une Ă©tude de sol. L’acheteur peut lui aussi procĂ©der Ă  une expertise des diffĂ©rents milieux avant de poursuivre la transaction. 3- La cessation d’activitĂ© et l’obligation de remise en Ă©tat du site. Lorsque l’activitĂ© cesse sur un site, l’exploitant, s’il est solvable et identifiĂ©, a pour obligation de remettre le site dans un Ă©tat tel qu’il ne porte pas atteinte aux intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă  l’article et qu’il permette l’usage futur auquel il est vouĂ©article du code de l’environnement. Cet usage est dĂ©fini en concertation avec les collectivitĂ©s locales, entre autres cf plus loin les objectifs de rĂ©habilitation. En cas de dĂ©saccord, l’usage retenu est un usage comparable Ă  celui de la derniĂšre exploitation. Si la rĂ©habilitation prĂ©vue est jugĂ©e incompatible avec l’usage futur ou incohĂ©rent avec les documents d’urbanisme en vigueur, le prĂ©fet peut, dans certaines circonstances, fixer un niveau de dĂ©pollution diffĂ©rent. En matiĂšre de responsabilitĂ© et analyse pollution sols, il ne s’agit donc pas de rĂ©tablir le site dans son Ă©tat initial, tel qu’il Ă©tait avant toute pollution ; la remise en Ă©tat consiste Ă  rendre la qualitĂ© du sol compatible avec l’usage futur du site, ce qui implique de supprimer les dangers ou inconvĂ©nients pour la santĂ© humaine et l’environnement. Pour les nouvelles installations autorisĂ©es aprĂšs le 31 janvier 2004 l’arrĂȘtĂ© d’autorisation fixera le niveau de dĂ©pollution Ă  atteindre lors de la cessation d’activitĂ©. Hormis l’ADEME qui, comme nous l’avons vu prĂ©cĂ©demment, peut ĂȘtre chargĂ©e de remettre le site en Ă©tat article du Code de l’Environnement, d’autres organismes peuvent intervenir lors de la cessation d’activitĂ©. A titre d’exemple, nous citerons BAIL Industrie qui agit exclusivement pour le compte d’ARCELOR et l’EPF Lorraine, organisme public gĂ©rant fonciĂšrement les espaces dĂ©gradĂ©s. Diagnostic et dĂ©pollution des sols si prĂ©sence de polluants Le cadre normatif La norme NF X 31-620 qualitĂ© du sol – prestations de services relatives aux sites et sols polluĂ©s Ă©tudes, ingĂ©nierie, rĂ©habilitation de sites polluĂ©s et travaux de dĂ©pollutiona pour objectif de clarifier les relations contractuelles entre professionnels de la dĂ©pollution des sols et donneurs d’ordre, de valoriser les prestations de service et de faciliter l’évaluation de la qualitĂ© des prestations rĂ©alisĂ©es. La norme expose tout d’abord la codification des diffĂ©rentes prestations relatives au traitement des sites polluĂ©s, rĂ©parties en cinq domaines – Ă©tudes prĂ©liminaires de recherche et d’identification d’une pollution aussi appelĂ© phase 1 Ă©tude documentaire et phase 2 diagnostic initial ou Eval 1 et 2, – Ă©tudes approfondies de caractĂ©risation dĂ©taillĂ©e des pollutions et des risques, si identification d’une pollution phase 3 ou Eval 3, – ingĂ©nierie des travaux de dĂ©pollution et/ou maĂźtrise d’Ɠuvre Ă©tudes de faisabilitĂ©, conception, consultation des entreprises, suivi et contrĂŽle, – exĂ©cution des travaux de dĂ©pollution traitement des sols et des nappes, extraction, Ă©limination des terres polluĂ©es, etc., – surveillance prĂ©lĂšvement, analyse, interprĂ©tation, etc.. Elle fournit ensuite des exigences gĂ©nĂ©rales concernant les professionnels, d’ordre administratif et juridique, organisationnel systĂšme d’assurance qualitĂ© ou encore relatives Ă  la compĂ©tence du personnel. Elle dĂ©taille enfin pas Ă  pas le contenu des prestations d’étude et de conseil et des prestations d’ingĂ©nierie des travaux et le contenu des prestations de surveillance des sites. Cette norme vise Ă  assurer Ă  l’industriel ou Ă  la collectivitĂ© demandeuse que les prestataires agissent conformĂ©ment Ă  leur demande, en assurant la prĂ©servation de la santĂ© des intervenants et des riverains, la protection de l’environnement et le respect de la rĂ©glementation en vigueur. Elle engage alors les travaux et le bureau d’étude peut Ă  nouveau intervenir pour – ContrĂŽler la conformitĂ© des installations par rapport aux objectifs fixĂ©s et Ă  la nature de la pollution, – Suivre la dĂ©pollution et vĂ©rifier que les objectifs sont bien atteints au terme des travaux. ResponsabilitĂ© et analyse pollution sols Diagramme dĂ©marche globale de recherche pollution des sols et de rĂ©habilitation d’un site polluĂ© AprĂšs ces Ă©tapes le bureau d’étude monte un dossier de consultation afin de procĂ©der au lancement de l’appel d’offre vers les professionnels de la dĂ©pollution. Le cahier des charges comprend – Le descriptif de la pollution, – Les objectifs de dĂ©pollution. Au final, c’est l’entreprise qui choisit librement la sociĂ©tĂ© de dĂ©pollution qui rĂ©pond au mieux au cahier des charges. ALCOR rĂ©alise pour vous le Diagnostic initial de la qualitĂ© des sols et du sous-sol, mission de type EVAL 1 et 2 / Etudes prĂ©liminaires de recherche et d’identification d’une pollution. Lire aussi notre article Diagnostic pollution des sols ResponsabilitĂ© et analyse pollution sols lire aussi cet article sur la responsabilitĂ© du propriĂ©taire en cas de pollution des sols. ← Article prĂ©cĂ©dent Article Suivant →

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