Saloou les 120 journées film complet Résumé du film Entre 1943 et 1945, sous la république fasciste italienne de Salò. Quatre hommes de pouvoir: un duc, un évêque,
Salòou les 120 journées de Sodome. En 1943, dans la république fasciste fantoche de Salò, quatre riches notables enlèvent neuf jeunes garçons et neuf jeunes filles de la région pour les emprisonner dans un somptueux palais. Dans ce décor luxueux, les adolescents seront soumis aux plaisirs de leurs geôliers, à leur jouissance
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Salòou les 120 journées de Sodome (1975) Film Complet Streaming en Français. Titre original: Salò o le 120 giornate di Sodoma Sortie: 1975-11-22 Durée: 115 minutes Évaluation: 6.4 de 850 utilisateurs Qualité: 720p Genre: War,Drama,Horror Etoiles: Paolo Bonacelli, Giorgio Cataldi, Uberto Paolo Quintavalle, Aldo Valletti, Hélène Surgère,
Salòou les 120 jours de Sodome (1975) : le test complet du DVD Salò o le 120 giornate di Sodoma Édition Collector Numérotée. Réalisé par Pier Paolo Pasolini
. Salo ou les 120 journées de Sodome de Pier Paolo Pasolini. Au menu soumissions sexuelles, sévices corporels et excréments en papillotes...Bon appétit! Prod DB © PEA - Artistes Associ?s / DR Alors que la Cinémathèque Française de Paris rend hommage au sulfureux Pier Paolo Pasolini, ressort en salles son dernier film, Salo ou les 120 journées de Sodome, libre adaptation du marquis Sade dans l'Italie fasciste. Au menu soumissions sexuelles, sévices corporels et excréments en papillotes...Bon appétit! Pasolini, Mussolini, Berlusconi et ... Sade!Romancier, poète, intellectuel, cinéaste, Pier Paolo Pasolini était l'une des figures les plus importantes du XXe siècle. L'homme sera retrouvé sauvagement assassiné sur une plage d'Ostie le 2 novembre 1975, à l'âge de 53 ans. Si à ce jour, l'affaire conserve son mystère, les pistes n'ont jamais manquées. Communiste notoire, en délicatesse avec les religieux, Pasolini, qui ne cachait pas son homosexualité, s'apprêtait à lancer une bombe à la face du monde Salo ou les 120 journées de Sodome, transposition dans l'Italie fasciste de l'oeuvre du marquis de Sade. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Divisé en quatre tableaux, Salo va crescendo dans l'ignoble. La dernière partie où des notables regardent à la jumelle la mutilation de jeunes suppliciés offre une "jolie" parabole de la société du spectacle et préfigure les bassesses berlusconiennes à venir. La télévision avec ses jeux de télé-réalité reproduira en effet, le schéma des 120 journées de Sodome, en enfermant à tour de bras des candidats dans des lofts aseptisés pour s'entredévorer. J'irai cracher sur votre monde!Entreprendre la lecture des 120 journées de Sodome 1785 écrit par un Marquis de Sade embastillé, c'est se confronter à une douloureuse expérience. On y suit une orgie orchestrée par quatre aristocrates désoeuvrés sous le règne de Louis XIV. Nos héros prennent d'abord le soin de kidnapper une flopée de vierges et de puceaux, afin de les enfermer dans un château pour leur faire subir les pires abominations sexuelles, psychologiques, physiques... George Bataille, qui pourtant en avait vu d'autres, écrivit à son propos en 1957 "Personne à moins de rester sourd n'achève les Cent Vingt Journées que malade le plus malade est bien celui que cette lecture énerve sensuellement." Pasolini a bien-sûr achevé l'oeuvre, s'en est imprégné pour la recracher dans notre monde moderne. Un monde où la bourgeoisie -grande et moyenne- a certes remplacé une aristocratie désuète, mais reste tout aussi vorace. Le film de Pasolini situé dans l'Italie fasciste se reflète dans toutes nos époques passées et actuelles. Cette intemporalité est peut-être ce qui le rend si choquant! Mais c'est de la merde!?!?!?!?Toutes celles et ceux qui ont vu le film de Pasolini, se souviennent avec horreur de ces scènes de banquet où de la merde humaine est servi en plat de résistance. Ou encore ces gros plans où des jeunes filles et des jeunes hommes sont aspergées de pisse. Et oui, nos excréments bigger than life ne sont pas beaux à voir, encore moins à manger! Une telle crudité visuelle reste encore aujourd'hui inédite dans l'industrie du cinéma mainstream. Si des sites pornographiques spécialisés permettent d'assouvir toutes ses envies - y compris les moins avouables - Salo ou les 120 journées de Sodome oblige le spectateur de cinéma, à voir l'horreur en face. Stanley Kubrick dans son Orange Mécanique réalisé 4 ans auparavant, avait déjà exploré cette rééducation par l'image. Dans le film de Pasolini, le voyeur est désormais pleinement consentant et met en scène la propre violence de ses images. A quand une version 3D de Salo? Thomas Baurez Les plus lus OpinionsLa chronique d'Albert MoukheiberAlbert MoukheiberLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain Fort
SALO O LE 120 GIORNATE DI SODOMA Sous la République Fasciste de Salo, aux alentours de 1945, quatre notables s'installent dans une villa afin de s'y livrer aux débauches les plus extrêmes. Ces orgies seront régies par un règlement sévère préalablement établi. Neuf jeunes filles et neuf garçons, enlevés pour le compte de ces libertins par des fascistes et des soldats allemands, vont leur servir d'objets de plaisir sur lesquels ils vont défouler leurs pulsions les plus extrêmes... SALO est l'adaptation par le réalisateur italien Pier Paolo Pasolini du texte "Les 120 Journées de Sodome", rédigé par le Marquis de Sade pendant sa captivité à la prison de la Bastille en 1785. C'est d'abord le réalisateur Sergio Citti qui devait tourner ce projet et il commença à en écrire le scénario avec l'aide de Pasolini, dont il était l'ami et l'assistant depuis le début des années 60. Finalement, Citti se désintéressa du projet et Pasolini, de plus en plus captivé par ce travail, le reprit à son compte. Il était surtout captivé par l'idée de transcrire "Les 120 Journées de Sodome" hors de son contexte historique original la France du XVIIIème siècle, peu de temps après la mort de Louis XIV, afin d'en situer l'action pendant la République de Salo. En 1943, le dictateur Benito Mussolini était destitué et emprisonné par le Grand Conseil fasciste, pressé d'engager des négociations avec les alliés opposés à Hitler. Pourtant, un commando allemand libéra Mussolini. Ce dernier créa donc en septembre 1943 une éphémère et fantoche République Sociale ayant pour capitale la ville de Salo, sur les rives du lac de Garde, dans les terres italiennes encore occupées par les nazis. C'est donc dans le contexte de cette déliquescence finale de l'ordre fasciste italien que Pasolini a choisi de transposer les écrits de Sade. Toutefois, seules quelques scènes du début du film se passent réellement à Salo la rédaction du règlement. L'enlèvement des victimes et les évènements se déroulant dans la villa ont lieu aux alentours de Marzabotto, village martyr de la barbarie nazie, dans lequel 1836 habitants furent massacrés durant les mois de septembre et d'octobre 1944. En adaptant ce sommet de la littérature libertine, Pasolini entendait faire un film insoutenable, un film qui révèlerait le vrai visage du fascisme dans toute sa brutalité et son horreur. La concrétisation de ce projet était à ses yeux d'autant plus urgente que la situation politique italienne était alors extrêmement tendue. Les évènements de 1968 avaient entraîné, en réaction, le réveil de forces néo-fascistes, et les terrorismes, d'extrême-gauche et d'extrême-droite, marquent de leur empreinte sanglante les années 1970. La menace d'un coup d'état fasciste est clairement dans l'air, comme le démontre le film VIOLENCE ET PASSION de Luchino Visconti. Avec son SALO, Pasolini entend secouer les consciences italiennes pendant qu'il en est encore temps. Sa mort violente, survenue peu avant le début de l'enregistrement du doublage français du film, s'inscrit dans l'atmosphère politique extrêmement violente de cette époque le 2 novembre 1975, Pier Paolo Pasolini était assassiné à Ostia, près de Rome. La justice italienne considéra ce meurtre comme un crime crapuleux commis par un prostitué. Mais les proches de Pasolini ont jugé l'instruction bâclée et considèrent qu'il a bien été victime d'un crime politique, notamment suite à des articles dans lesquels il dénonçait la corruption du parti démocrate-chrétien alors au pouvoir. SALO met donc en scène quatre notables fascistes, le Duc, l'Evèque, le Magistrat et le Président, qui vont profiter du pouvoir absolu que leur confère le régime fasciste afin d'assouvir leurs pulsions les plus perverses. Ils enlèvent neuf jeunes filles et neuf jeunes garçons, leurs victimes, et s'enferment avec eux dans une grande villa du XVIIIème siècle. Ils sont accompagnées de miliciens, de serviteurs, d'une pianiste et de trois narratrices de vieilles prostituées rompues à l'art de raconter des récits salaces, conviées afin d'exciter les quatre fascistes. Les "festivités" seront organisées dans le temps suivant trois étapes le cercle des manies ; le cercle de la merde surtout portée sur la coprophilie ; et le cercle du sang meurtres et tortures. A la fin de ce périple à travers l'innommable, les jeunes gens encore vivants auront le "privilège" d'accompagner les notables à Salo. Au loin, les bruits de guerre de la ligne de front, de plus en plus proche, se font entendre... SALO se présente donc comme une succession de scènes de tortures et de viols, filmées avec une froideur et un détachement extrêmes. Jamais la réalisation ou le commentaire musical ne soulignent aucune empathie ou compassion envers les personnages, qu'ils soient bourreaux ou victimes. Le résultat est glaçant et horrifiant. SALO nous jette sa violence en pleine figure, en recourant à une stricte frontalité et à une clarté sans pitié. Son efficacité assez traumatisante ne repose pas tant sur un étalage de violence sanglante gore, que sur la représentation de la dégradation insoutenable des victimes, particulièrement dans des situations de violence sexuelles. Si la mise en scène est d'une neutralité glaçante, le récit ménage des pistes claires afin d'orienter la réflexion du spectateur. Ainsi, le jeune milicien désobéissant au règlement meurt en faisant le salut des partisans communistes ; une des jeunes filles, punie, ligotée dans un bac rempli d'excréments, hurle, comme le christ sur sa croix "Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?"... Dès lors, le propos de SALO semble sans ambiguïté, bien que certains spectateurs aient vu en ce discours un prétexte hypocrite à un étalage complaisant d'atrocités. Pasolini a lui-même reconnu une fascination pour les orgies de Sade... Pourtant, il admet aussi que SALO est un film puritain. A de rares exceptions près les désobéissances, seuls les caractères négatifs de la sexualité sont étalés viol, esclavage, contrainte, réduction de l'être humain à un simple corps devenu objet de consommation et de jouissance... On a d'ailleurs bien souvent reproché à Pasolini d'avoir détourné le sens des écrits libertins de Sade, déchaînement en toute liberté des pulsions naturelles, pour en faire un instrument lourdement moraliste. SALO se pose en contrepoint de ses trois précédents films, eux aussi inspirés de classiques de la littérature LE DECAMERON, LES CONTES DE CANTERBURY et LES MILLE ET UNE NUITS, qui proposaient une vision sereine et épanouie de la sexualité. Il faut d'ailleurs constater que SALO est assez isolé dans la filmographie de Pasolini. Cette froideur envers ses personnages, cette cruauté jetée à la figure du spectateur ne se retrouve guère que dans PORCHERIE, avec son cannibale Pierre Clémenti et son zoophile Jean-Pierre Léaud ; toutefois, dans cette dernière oeuvre, les atrocités ne sont que suggérées, contrairement au très explicite SALO. Pour bien comprendre SALO, il faut saisir qu'il a été fait délibérément pour choquer, pour réveiller les spectateurs. Pasolini sollicite ici le dégoût et cherche à provoquer la révolte face à des évènements insoutenables présentés sans aucun filtrage. On peut être dubitatif face à l'efficacité de cette démarche Voir des horreurs au cinéma nous rend-il meilleur et plus à même de réagir face aux drames de la réalité ?. On ne peut pourtant pas mettre en doute la sincérité et le courage de ce film unique. La qualité d'image de ce DVD est une très agréable surprise. La copie en est de très bonne qualité, avec à peine quelques saletés à signaler par endroits. La luminosité et la définition sont impeccables, et l'on regrette juste quelques petites hésitations dans la compression au cours des scènes mouvementées. Mais pour un film plutôt rare, censuré dans son propre pays en son temps, c'est vraiment une réussite, surtout si l'on compare ce résultat aux copies fatiguées qui tournaient encore il y a peu dans les cinémas parisiens. Le DVD propose deux bandes-son. On trouve la version italienne sous-titrée en mono d'origine, qui bénéficie d'une très bonne qualité sonore. On a aussi le doublage français, intéressant à plus d'un titre. D'une part Pasolini a toujours affirmé qu'il détestait les sous-titres, qui défigurent l'image, et préférait toujours les versions doublées. D'autre part, il considérait que la vraie langue de SALO devait être le français, la langue du Marquis de Sade. Le doublage est d'excellente qualité, mais la qualité technique est tout de même bien inférieure à la piste italienne. Cette édition limitée et numérotée est proposée dans un fourreau en carton contenant, outre le DVD dans son boîtier en plastique, un livret de 48 pages illustrées de photographies en noir et blanc. On y trouve de nombreux textes et entretiens rédigés par Pasolini à propos du film, ainsi que des informations sur la République de Salo ou le Marquis de Sade. C'est de l'excellent travail, ce petit guide fournissant au spectateur des informations indispensables pour aborder SALO. En bonus, on trouve une bande-annonce d'époque, un peu fatiguée, en italien, avec sous-titrage français amovible. On peut également découvrir un diaporama de photos de plateau défilant durant deux minutes, un remarquable documentaire de 32 minutes appelé Salo d'Hier à Aujourd'hui, dans lequel on assiste notamment au tournage des dernières scènes de torture du film et aussi de nombreux entretiens d'époque Pasolini... ou récents l'actrice Hélène Surgère, Jean-Claude Biette, Ninetto Davoli... de Pasolini et de ses proches. Encore une fois, c'est une vraie réussite. On sera plus partagé sur Enfants de Salo, un documentaire dans lequel quatre réalisateurs français contemporains s'expriment sur ce film. Si on apprécie la sincérité touchante de Claire Denis TROUBLE EVERY DAY..., et l'approche réfléchie et mesurée de Gaspar Noé SEUL CONTRE TOUS, IRRÉVERSIBLE..., les réflexions naïves et prétentieuses de Bertrand Bonello LE PORNOGRAPHE... et de Catherine Breillat ROMANCE... énervent un peu. SALO reste un film unique, une oeuvre qui, issue du giron du cinéma dit "d'auteurs", s'est permis de surpasser par sa brutalité et son efficacité horrifiantes les pires provocations du cinéma d'exploitation. Présentant relativement peu de similitudes, sur le fond, avec les autres films de Pasolini, SALO reste un film singulier, une des perles les plus noires et les plus vénéneuses de l'histoire du cinéma européen. Un parcours de cinéphile ma foi bien classique pour le petit Manolito, des fonds de culottes usés dans les cinémas de l'ouest parisiens à s'émerveiller devant les classiques de son temps, les Indiana Jones, Tron, Le Dragon du lac de feu, Le Secret de la pyramide... et surtout les Star Wars ! Premier Ecran fantastique à neuf ans pour Le retour du Jedi, premier Mad Movies avec Maximum Overdrive en couverture à treize ans, les vidéo clubs de quartier, les enregistrements de Canal +... Et un enthousiasme et une passion pour le cinéma fantastique sous toutes ses formes, dans toute sa diversité. 48 ans 1 news 563 critiques Film & Vidéo 1 critiques Livres On aime Un film courageux et intègre à réserver à un public averti Mon compte Se connecter S'inscrire Notes des lecteurs Votez pour ce film Vous n'êtes pas connecté ! L'édition vidéo Support DVD Double couche Audio Italian Dolby Digital Mono Francais Dolby Digital Mono Supplements Documentaires Salo, d'hier à aujourd'hui 31mn52 Enfants de Salo 18mn26 Diaporama Salo, photos de plateaux 2mn34 Bande-annonce Menus Autres éditions vidéo
Vous aimez ce film, notez le !La note moyenne actuelle est de 17,00 pour 1 votes Au temps de la république fasciste de Salò… Dans un grand château italien, les détenteurs du pouvoir s’acharnent sur un groupe de jeune gens soumis à une série de sévices de plus en plus humiliants, de plus en plus cruels, de plus en plus macabres…La classification de ce film ne nous autorise pas à diffuser d'extrait vidéo sans authentification. Titre original Salò o le 120 giornate di SodomaFiche mise à jour le 02/06/2022Classification Interdit aux moins de 16 ansAnnée de production 1976Réalisé par Pier Paolo PasoliniD'après l'oeuvre originale de Acteurs principaux Paolo Bonacelli, Giorgio Cataldi, Umberto P. QuintavalleDate de sortie 19 mai 1976Date de reprise 01 juin 2022Distributeur France Solaris Distribution Distributeur international non renseignéDurée 117 minutesOrigines Italie Genres Drame Pellicule couleurFormat de projection - EastmancolorFormat son MonoVisa d'exploitation non renseignéSite officiel non renseignéIndice Bdfci Vos commentaires et critiques
ForumsDiversLe Cercle Taberna[Film Italien] Salo ou les 120 jours de Sodome Publié par Knoutissima Excellente comparaison, c'est un film génial, un film violent, mais force est de constater que ça a vieillit. Un peu comme "la grande bouffe" ou "Delivrance", ce fut des films chocs, mais du temps de nos parents, là c'est vintage. Avec tout les nanards que l'on s'enfile Saw, Hostel, the human centiped on est blasé et les images supposées choquantes ne nous font plus grands choses. 10/07/2010, 02h07 Publié par Knoutissima Avec tout les nanards que l'on s'enfile Saw, Hostel, the human centiped on est blasé et les images supposées choquantes ne nous font plus grands choses. Saw et compagnie sont des films d'horreur, alors que Salo est plutôt un film sur l'horreur. 10/07/2010, 09h42 Ceux qui disait que on est blasé et que c'est plus choquant a mon avis ils ne l'ont pas vu, les scènes de viol a la limite oui, mais les autres -celle avec les excréments- sont difficile a regarder même maintenant franchement. 10/07/2010, 12h01 {Doudou ಠ_ಠ} 10/07/2010, 13h05 Ce film est une bonne adaptation de l'esprit de Sade. Si le Marquis de Sade ne vous dit rien ou peu alors vaut mieux passé son chemin. 10/07/2010, 13h58 Publié par Rhaitz Ceux qui disait que on est blasé et que c'est plus choquant a mon avis ils ne l'ont pas vu, les scènes de viol a la limite oui, mais les autres -celle avec les excréments- sont difficile a regarder même maintenant franchement. Ouias c'est sale c'est malsain la fin est bien crado, mais je m'attendais à pire avec se que j'avais lu dessus et ca a bien vieilli aussi. C'est pas un film qui m'aura marqué 10/07/2010, 14h13 ForumsDiversLe Cercle Taberna[Film Italien] Salo ou les 120 jours de Sodome
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